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Posté : jeu. sept. 11, 2014 1:39 pm
par Kalawats
Bonjour à tous,

Je suis un peu d'accord avec pierrodelalune concernant la partie où le pso, plus on s'en occupe, plus il prend de l'importance. Je fais un travail sur moi-même avec une psy depuis quelques moi.

Par contre je ne suis pas d'accord avec "le pso se déclenche face à un moment d'extrême solitude". Je suis NEE avec du pso. Il est où le moment d'extrême solitude???? :shock:

Par contre, ma dernière grosse crise s'est déclenchée face à un râle bol général (aussi bien mental que physique).

Posté : ven. sept. 12, 2014 11:20 am
par jessyjess
tout a fait d'accord avec toi je suis nee aussi avec!

la seule chose qu'on savait c'est que mon pere a le meme pso que moi!

et puis franchement le truc de c'est psyco blabla j'y crois moyennement...

par contre je suis sur que des moment de stresse intense ne peu que le nourrir car j'avais lu un truc comme quoi quand tu est stresse les cellul sont actives etc...

Posté : mar. sept. 16, 2014 9:22 pm
par pierrodelalune
Vous savez kalwats, disons que c'était un premier jet, quelques points sont à reprendre. Je me suis fier à ma propre expérience, et j'ai donc écrit de façon un peu trop individuelle, je tâcherais d'être plus précis et d'avoir une observation plus global lors d'un prochain post.

Je me suis un peu penché sur les psoriasique de naissance, à mon avis soit l'enfant à subit un traumatisme pré-natal (durant la confection, la sensibilité du petit Homme à l'environnement extérieur),soit, dans vôtre cas, la transmission génétique d'un conditionnement psychologique, encré profondément sur plusieurs générations;et qui peut aussi dans d'autres cas avoir été retransmis par l'éducation familiale.

Me concernant dans des moments de stress ou de ras le bol j'ai aussi pu observer que la pensée était très active, très occupé, on devient très préoccupé par sois même, croulant sous un torrent de mots et d'idées en ne laissant aucuns espaces dans sa tête, aucuns répits. Un terrain de jeu étrangement(?) propice au développement du pso.

Une citation d'Eckart Tolle se trouve approprié ici :

"Penser est devenu une maladie et celle-ci survient quand
les choses sont déséquilibrées. Par exemple, il n'y a rien de
mal à ce que les cellules du corps se divisent pour se
multiplier. Mais lorsque ce phénomène s'effectue sans aucun
égard pour l'organisme dans sa totalité, les cellules prolifèrent
et la maladie s'installe.
Le mental est un magnifique outil si l'on s'en sert à bon
escient. Dans le cas contraire, il devient très destructeur..."

N'hésitez pas à douter et à faire part de vos ressentis concernant les posts; cela ne peux que mener vers une meilleur compréhension.

Posté : mer. déc. 03, 2014 6:46 am
par Liliette
Bonjour à tous,

Je suis tres intéressée par vos posts, car depuis quelques temps, je modifie ma pensée et mes questionnements sur notre façon de nourrir nos maladies, mal etre etc.
Dans mon cas, rhumatisme pso actif meme sous biotherapie depuis 7 mois,entre autres... je "sens" une nécessité profonde et une intime conviction que la solution est en moi.

Je fais face à quelques maladresses qui me dirigent parfois du coté inverse à celui voulu.

Du coup, mes questions peuvent paraitre légères mais finalement il faut rester centré sur l essentiel je pense. Donc, comment réussir à accueillir et observer ses symptomes avec détachement?
Comment modifier intésement et donc suffisament ses façons de penser et donc de nourrir nos affections, douleurs etc et donc notre pso et/ou RP?
J ai fais un enorme travaille sur moi, qui a été plus que bénéfique, et je m attelle maintenant à la gestion des émotions, entre autres.

Pendant que j écris ce post, je me rend compte que je me reprend déjà constamment pour en parler avec détachement!!!

Voilà pour commencer, j espere vivement avoir vos réponses bientot, car il y a beaucoup à "creuser" par ici lol

La journée commence bien, et pourtant se sont les douleurs et le feu qu elles provoquent qui m ont réveillées en pleine nuit!

Posté : mar. janv. 06, 2015 1:10 pm
par jessyjess
Je commence a comprendre ....

Déjà ce souvenir quand on a un le pso la première foi. Ce rappeler de ce que l'on a ressenti que c'est il passer a ce moment la dans ton corp et dans ton esprit mettre des mot sur le ressenti ....

Posté : ven. janv. 09, 2015 2:12 pm
par pierrodelalune
A lire; Petit passage intéressant sur le lien psycho/pso

https://books.google.fr/books?id=6Y8s_c ... ux&f=false

Posté : mer. janv. 06, 2016 11:16 am
par jessyjess
Voilà un an pour ce dernier post....

Je me permets de relancer le sujet

Comment ce détacher du pso? Ne plus y penser? L'ignorer?

Alors que jusqu'à ici il me pause pas trop de problème même si j'espère tout les jours le voir disparaitre..... il reste présent au quotidien

Posté : jeu. janv. 07, 2016 9:41 am
par lam
Bonjour,
Pour les personnes atteintes de psoriasis de naissance, plusieurs sources (université, presse spécialisée...) confirment que c'est une maladie génétique.
Ce qui est génétique est héréditaire. C'est donc normal si quelqu'un a du psoriasis de naissance car un de ses parents est atteint de psoriasis.
Dans ce cas, le traitement principal est de chercher un médicament pour équilibrer son métabolisme. Et ce traitement va durer tout sa vie.
La psychologie peut jouer au psoriasis comme à d'autres maladies, mais non permanemment.



pour moi jesuis quasi certaine que c est psy car suite a une therapie j ai - 80% de pso . mon oncle en a plus du tout suite a une therapy aussi
donc pour les 20% restant je cherche d ou cela provient

mon pere en avait partout et c est partis tout seul il m as explique que en quelques semaine les plaques on disparu il a absolument rien change dans sa vie

voila la complexité du psoriasis :?

Solution contre les demangeaisons

Posté : jeu. janv. 07, 2016 11:30 am
par jujudu211
Bonjour

Alors voila j'ai de l’eczéma depuis des années et j'ai testé beaucoup les crèmes possibles et ça n'a jamais fais de miracles..

Je suis encore étudiante et je n'ai pas forcement les moyens de me payer toutes les crèmes en pharmacie

j'ai fais pas mal de recherche et je suis tombé sur un site qui propose des vêtements contre les démangeaisons, pour l’eczéma etc

je n'avais plus rien a perdre donc j'ai testé et franchement ça marche bien!

je vous les recommande, vous trouverez le site en tapant dooderm sur google

Bon courage a vous

Posté : lun. janv. 18, 2016 4:01 pm
par valerie
C'est un sujet intéressant, à prendre avec des pincettes, car de là à dire qu'on est responsable de notre psoriasis il n'y a qu'un pas que certains pourraient franchir. :roll:
Je n'ai du pso que depuis un peu moins d'un an.
En fait non.. J'ai du pso depuis une quinzaine d'années mais il était dormant. Deux petites plaques sur chaque jambe, qui me grattaient et refusaient de partir.
Mais je ne savais pas encore que c'était du pso.
Pourtant mon père a eu un pso géant ainsi que l'une de mes soeurs et un frère et une soeur ont du pso "gérable", quelques plaques aux coudes, aux genoux, sur la tête...
C'est dire si je pense l'avoir dans le sang !

J'ai vécu des moments pas faciles ces dix dernières années.
Sans rentrer dans les détails : Mari violent et enfant handicapé... et d'autres joyeusetés...
Et pourtant, le pso est resté tapi... à l'inverse d'autres maladies qui se sont acharnées sur moi.
Asthme, céphalée, maux de dos, et surtout parodontite qui m'a fait perdre toutes mes dents. j'ai bien morflé...
Et le pso... toujours endormi.

Je me suis libérée de mon bourreau... je me suis trouvé un petit paradis dans le sud avec mon gosse pour qui j'ai trouvé de très bon spécialistes.
J'ai soigné mon dos, ma tête, mon asthme et me suis fait implanter toutes mes dents.
Je reprends ma vie en main, j'ai des projets, des rêves... à nouveau.
...
Et là, mon pso se réveille.

Alors, que dire !
Un pso sous les pieds essentiellement.
Ras le bol d'avancer, sûrement.
Mais pour autant, je ne vois pas le rôle que je voudrais lui donner.

Ce pso, il m'emmerde, il me ralentit.
Est-ce sa fonction ?!
M'obliger à me poser un peu ? à cesser d'avancer, toujours, toujours !!

Ma meilleure amie qui a fait des études de psycho me dit que j'ai tellement perdu l'habitude de m'écouter, que mon corps m'envoie des signaux de plus en plus clair.
Stop !! Me dit mon pso.

Peut-être.

Posté : lun. janv. 18, 2016 9:03 pm
par vimocambor
Après il faut pouvoir la faire cette pause. Ca va mieux pendant les vacances ?
J'ai eu aussi l'impression que le pso voulait m'empêcher d'avancer et plus j’ignorai cette maladie pire c'était jusqu'à ce que ça me touche au visage. Là impossible de l'ignorer avec le regard des autres et les questions.
La biothérapie a arrêté tout ça ( provisoirement ?).
En tout cas merci pour ton témoignage très touchant.

Posté : lun. janv. 18, 2016 9:20 pm
par valerie
Et bien disons que parfois justement, il n'est plus question de savoir si on peut faire la pause ou non. On doit la faire.
Mais faire une pause ne veux pas forcément dire "congé" ou "repos".
Je pense que c'est plus complexe.
Je pense que nous devons prendre le temps de regarder en nous et de lâcher prise avec nos peurs et nos obsessions.
Il faut juste parvenir à trouver ce que c'est ! Pas si simple en vérité.
Alors comme tu le dis vimocambor... Tant qu'on peut nier, on met de côté et on avance coûte que coûte.
Et puis un jour on ne peut plus.
Comme avec ma parodontite qui m'a amenée au bord de la mort.
Et ensuite les pieds qui m'ont obligée à m'écouter, à ralentir la cadence et à regarder ce que j'étais en train de faire de ma vie.
Je mangeais mal, dormais mal, fumais, ne faisais plus de sport. Bref, une hygiène de vie lamentable.
C'est là dessus que je travaille.
Et même si ça ne me débarrassera pas de mon pso, ça sera de toute façon bénéfique ! :P
Ah... Et puis pour répondre à ta question, je travaille chez moi donc je n'ai pas vraiment de vacances. Mais non, lorsque j'arrête de travailler, je crois que je vais encore moins bien parce que je veux profiter de ce temps pour tout régler.

Posté : lun. janv. 18, 2016 11:40 pm
par jessyjess
Tu travail dans quoi? Moi aussi je bhoss à la maison ! .

Alors moi j'ai décidé de faire une sorte de therapy.....

Je cherche ce que je sais déjà.... Et oui lol !

J'ai toujours ''cru'' que tel ou tel événement certe existait mais que je vivais avec ... Et si au fond de moi...mon moi intérieur n'était pas d accord avec le fait que '' bon bah c'est du passe...'' et si je devait faire le ménage du passer au lieu de la cacher sous la poussière....

Et si j'osai dire ''OK ces événements mon toucher '' et si je fermais les yeux 5 minute et que je remontaient à ces evements au est ce que je ressent? Est ce que l'on m'as laissé le droit d'exprimer ce que je voulais?

Même si c'est des choses nul pour les autres pour faire '' bien '' j'ai rien dit et si j'ai envie de dire stop!

Bref et si je m écoutais ''moi'' juste une foi?

C'est compliqué d'expliquer sur une tablette lol

Posté : mar. janv. 19, 2016 6:01 pm
par valerie
Je suis artisane, je peins des galets à la main. Et j'écris aussi, des articles, un livre.. Je fais partie de plusieurs associations sur l'autisme, ce qui me prends pas mal de temps. Bref, je ne m'ennuie pas ! :)

Sinon, oui, je pense qu'il faut en effet regarder là où on aurait tendance à vouloir fermer la porte, mais ça ne suffit pas bien sûr, ce serait si simple ! LOL

Je sais que tout est imbriqué, présent et passé, volonté et inconscient...

Honnêtement, j'ai tellement envie d'aller bien ! J'ai du mal à admettre qu'une partie de moi me retient dans la maladie.
Et pourtant, une toute petite voix perchée sur mon épaule me souffle que si... Que bel et bien, je me maintiens malade...
Peut-être parce que j'ai peur d'aller bien.
J'ai peur de n'avoir plus à me plaindre.
J'ai peur de réaliser que tout n'ira pas forcément mieux dans ma vie, même si la santé est là.

Je trouve que ça ressemble au cap de l'adolescence.
Lorsqu'on veut être un adulte... Si fort !!
Mais qu'on veut aussi rester un enfant... terriblement

:roll:

Posté : jeu. janv. 21, 2016 9:44 pm
par jessyjess
Je fait plein de truc en ce moment. Je suis aller voir une homéopathie uniciste . truc de dingue j ai pleure et tout alors que c'est pas ma nature.

Je faitdes devoir aussi je cher ce que j aurais avoir que j ai pas ce que j ai ttrouvé dur pareil avec ce les bon côté ce que j ai aime ce qu'il m as fait du biendans ma vvie. Ce que je changerais ce que je garde bref je dit stop je réfléchi

Pas évident. Mais fesable et je relevéaussi un ddéfi par moi. Je souhaite prendre des cours de français depuis des années. Je me lance demain j appel un prof pour attaquer 1hpar semaine aà mon domicile.

Voilà la liste de ce que j aurais aimer vas diminuer.