Nouveau traitement prometteur contre le psoriasis

Les traitements du psoriasis

Modérateurs : vimocambor, jessyjess

Répondre
hatem
phasme
phasme
Messages : 26
Enregistré le : dim. juil. 29, 2007 3:10 am

Nouveau traitement prometteur contre le psoriasis

Message par hatem »

salu à tous

voilà en cherchant comme toujours j'ai traouvé cet article sur ce site:

http://www.lanutrition.fr/Nouveau-trait ... 3-145.html

L’ustekinumab, un nouveau traitement contre le psoriasis vient de faire l’objet d’un essai clinique. Les résultats, très prometteurs, viennent d’être présentés à Buenos Aires, lors du World Congress of Dermatology.
Véronique MOLÉNAT

Ustekinumab. Ça ne vous évoque rien de familier ? Normal. C’est le nom d’un médicament contre le psoriasis qui n’est pas encore commercialisé. Celui-ci vient de faire l’objet d’un essai clinique dont les résultats très prometteurs ont été présentés hier à Buenos Aires (Argentine) lors du Congrès mondial de dermatologie de 2007.

Le principe actif de ce traitement : des anticorps qui fixent et neutralisent les interleukines 12 et 23, deux messagers synthétisés en trop grande quantité chez les personnes souffrant de psoriasis. Sécrétées par des cellules du système immunitaire, ces interleukines interviennent normalement dans les processus d’inflammation à l’origine des plaques rouges caractéristiques du « pso ».

Craig Leonardi et ses collaborateurs de l’université de Saint-Louis (Etats-Unis) ont recruté pour leur essai 1200 personnes souffrant de psoriasis modéré à sévère. Les scientifiques ont donné aux volontaires soit 45 soit 90 milligrammes d’« ustekinumab » une fois toutes les 4 semaines, soit encore un placebo.

Résultat : 67% des personnes qui ont reçu la faible dose et 76% de celles qui ont reçu la dose supérieure ont vu l’intensité de leur psoriasis diminuer de 75% contre seulement 4% du groupe placebo. Par ailleurs, près de la moitié des personnes traitées à l’ustekinumab, notamment celles qui avaient reçu la dose la plus élevée, ont vu leurs symptômes quasiment disparaître après 12 semaines de traitement et ce, sans effet secondaire.

Il semblerait qu’en administrant une seule dose supplémentaire à 16 semaines, le bénéfice de ce traitement perdure jusqu’à 28 semaines. Il n’est cependant pas impossible qu’avec le temps, l’effet de ce médicament s’atténue. « Ceci arrive avec d’autres molécules et le bon sens me dit que ça pourrait être également le cas avec l’ustekinumab » tempère Craig Lonardi.

Affaire à suivre donc…
gwenmama
phasme
phasme
Messages : 11
Enregistré le : mer. déc. 12, 2007 11:58 am
Localisation : LOIRE ATLANTIQUE

Message par gwenmama »

En effet affaire a suivre!!!!
C'est toujours encouragent de savoir qu'on s'occupe un peu de nous.
Merci pour tous ces infos.
Bon courage a tous
Avatar du membre
vimocambor
abeille
abeille
Messages : 1623
Enregistré le : lun. févr. 12, 2007 10:22 pm
Localisation : Toulouse
Contact :

Message par vimocambor »

Trés interessant en effet tu es sûr qu'il n'y pas d'effet secondaire ?
Ca arrive quand en France ?
hatem
phasme
phasme
Messages : 26
Enregistré le : dim. juil. 29, 2007 3:10 am

Message par hatem »

salut tout le monde
c'est moi encore une fois,
bref, voilà ce que j'ai trouvé sur la commercialisation de ce médicament:


Centocor et Janssen-Cilag déposent des demandes d'approbation de l'ustekinumab aux États-Unis et en Europe pour le traitement du psoriasis en plaques modéré à sévère
05/12/2007 06:00 par PR Newswire | 0 commentaire(s) 0 nouveau(x)
HORSHAM, Pennsylvanie et BEERSE, Belgique, December 5 - Deux essais internationaux de phase 3 ont évalué le dosage peu fréquent de l'ustekinumab chez près de 2 000 patients Centocor, Inc. et Janssen-Cilag International NV ont
HORSHAM, Pennsylvanie et BEERSE, Belgique, December 5

- Deux essais internationaux de phase 3 ont évalué le dosage peu fréquent de l'ustekinumab chez près de 2 000 patients

Centocor, Inc. et Janssen-Cilag International NV ont annoncé aujourd'hui qu'elles ont déposé des demandes réglementaires exigeant l'approbation de l'ustekinumab (CNTO 1275) aux États-Unis et en Europe pour le traitement de patients adultes souffrant de psoriasis en plaques chronique modéré à sévère. Centocor a déposé une demande de licence de produit biologique (Biologics License Application - BLA) auprès de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, et Janssen-Cilag International NV a déposé une demande d'autorisation de mise en marché (Marketing Authorization Application - MAA) auprès de l'Agence européenne des médicaments (EMEA). L'ustekinumab est un nouvel anticorps monoclonal humain doté d'un mécanisme d'action novateur qui cible les cytokines interleukine 12 (IL-12) et interleukine 23 (IL-23), des protéines d'origine naturelle qui jouent un rôle important dans la régulation de réactions immunitaires et qui seraient liées à certains troubles inflammatoires à médiation immunologique.

On estime que 125 millions de personnes dans le monde souffrent du psoriasis, y compris deux pour cent des populations américaine et européenne, soit quelque 7,5 millions d'Américains et 10 millions d'Européens. Près du quart de ces 125 millions de personnes souffrent d'une forme modérée à sévère de psoriasis(1).

Les soumissions sont fondées sur un programme de développement complet qui comprend des données tirées de deux essais importants de phase 3 multicentriques, randomisés, à double insu et contrôlés par placebo impliquant près de 2 000 patients. Ces essais ont évalué l'innocuité et l'efficacité de l'ustekinumab dans le traitement du psoriasis en plaques modéré à sévère. Le critère principal de chaque étude de base était la proportion des patients ayant obtenu une réduction d'au moins 75 pour cent du psoriasis tel que mesuré par l'indice Psoriasis Area and Severity Index (PASI 75).

Nous sommes très encouragés par les résultats prometteurs du programme de développement clinique de l'ustekinumab, programme évaluant l'efficacité et l'innocuité de ce produit biologique novateur dans le traitement du psoriasis en plaques modéré à sévère , a déclaré Jerome A. Boscia, M.D., premier vice-président du service R&D clinique de Centocor, Inc. Nous demeurons engagés à élaborer de nouveaux traitements sûrs et efficaces pour les patients souffrant de maladies inflammatoires comme le psoriasis, et ce par le biais d'efforts de recherche et de développement continus dans les maladies où des besoins de traitement n'ont toujours pas été satisfaits.

À propos du psoriasis

Le psoriasis est une maladie chronique à médiation immunologique provoquée par la surproduction de cellules cutanées qui, elle, est causée par l'accumulation de ces cellules sur la surface de la peau. Le psoriasis entraîne l'apparition de plaques rouges écailleuses pouvant causer des démangeaisons et des saignements. On estime qu'environ 7,5 millions d'Américains et 10 millions d'Européens souffrent de psoriasis et que près du quart de ces personnes sont aux prises avec une forme modérée à sévère de psoriasis(1).

À propos de l'ustekinumab

L'ustekinumab est un nouvel anticorps monoclonal humain faisant l'objet d'un essai de développement de phase 3 par Centocor, Inc. afin de trouver un traitement contre le psoriasis en plaques modéré à sévère, et il est aussi étudié en tant qu'injection sous-cutanée administrée de façon peu fréquente. L'ustekinumab est un nouveau traitement biologique qui cible l'interleukine 12 (IL-12) et l'interleukine 23 (IL-23), deux protéines d'origine naturelle qui jouent un rôle important dans la régulation du système immunitaire et qui seraient impliquées dans certains troubles inflammatoires à médiation immunologique.

Centocor a découvert l'ustekinumab et elle possède des droits de marketing exclusifs sur le produit aux États-Unis. Les sociétés Janssen-Cilag ont des droits de marketing exclusifs dans tous les pays à l'extérieur des États-Unis. Centocor, Inc. et les sociétés Janssen-Cilag sont des membres de la famille de sociétés Johnson & Johnson.

À propos de Centocor, Inc.

Centocor tire parti de la puissance de la recherche et de la bio-fabrication mondiales pour offrir des médicaments biologiques novateurs qui transforment la vie des patients. Centocor a déjà apporté des innovations au traitement de la maladie de Crohn, de la polyarthrite rhumatoïde, de la spondylarthrite ankylosante, de la polyarthrite psoriasique, de la recto-colite ulcéro-hémorragique, de la maladie de Crohn pédiatrique et du psoriasis.

Leader mondial en matière de technologie et de production d'anticorps monoclonaux, Centocor a offert des traitements biologiques indispensables aux patients souffrant de troubles immunologiques débilitants.

À propos de Janssen-Cilag International NV et de Janssen-Cilag

Janssen-Cilag International NV et Janssen-Cilag ont beaucoup d'expérience dans le développement et le marketing de traitements contre les troubles du système nerveux central, le soulagement de la douleur, les maladies infectieuses, les troubles gastro-intestinaux et l'oncologie.

(1) National Psoriasis Foundation. About Psoriasis: Statistics. Disponible au : http://www.psoriasis.org/about/stats


affaire à suivre...
Avatar du membre
vimocambor
abeille
abeille
Messages : 1623
Enregistré le : lun. févr. 12, 2007 10:22 pm
Localisation : Toulouse
Contact :

Message par vimocambor »

J'ai vraiment envie d'y croire, c'est encore à l'essai d'aprés ce que je comprends.
Enfin quelque chose de nouveau, peut on encore croire au père noël ?
Merci Hatem
hatem
phasme
phasme
Messages : 26
Enregistré le : dim. juil. 29, 2007 3:10 am

Message par hatem »

salut tout le monde,
voilà, j'ai trouvé un article en langue anglaise et l'es traduit en francais:

version anglaise:
October 4, 2007 — More than two thirds of patients with moderate to severe plaque psoriasis receiving 2 subcutaneous doses of ustekinumab (CNTO 1275) achieved at least a 75% reduction in psoriasis at week 12 on the Psoriasis Area and Severity Index (PASI 75), according to the results of an international, multicenter, phase 3 study presented on October 3 at the World Congress of Dermatology, held in Buenos Aires, Argentina.

"Ustekinumab is a very high performance drug, utterly much more effective for psoriasis than any currently available agent," lead investigator Craig Leonardi, MD, an associate clinical professor of dermatology from St. Louis University Medical School in Missouri, told Medscape Dermatology. "Patients had a terrific response, it's infrequently administered, and the best part is that its safety profile is very clean."

"These were highly significant, impressive clinical results, and some of the happiest patients I've had the pleasure of treating," lead investigator Craig Leonardi, MD, an associate clinical professor of dermatology from St. Louis University Medical School in Missouri, said in a live Webcast.

Ustekinumab is a novel, fully human monoclonal antibody targeting the cytokines interleukin 12 (IL-12) and interleukin 23 (IL-23), which are naturally occurring immunoregulators thought to play a role in immune-mediated inflammatory diseases.

"Psoriasis is an immune disease, so targeting specific aspects of the immune system could help psoriasis," Steven Feldman, MD, PhD, a professor of dermatology, pathology, and public health sciences at Wake Forest University School of Medicine in Winston-Salem, North Carolina, told Medscape Dermatology. Dr. Feldman was not involved with this study but was asked to provide independent commentary. "While there's now genetic evidence that IL-23 is involved in psoriasis, the best rationale is the fact that anti-IL-12/23 drugs do help psoriasis."

A second independent expert who reviewed this study for Medscape Dermatology was Hiroshi Okamoto, MD, PhD, an assistant professor at the Institute of Rheumatology, Tokyo Women's Medical University in Japan. He explained that the development of psoriasis is dependent on Th1 lineage cells. IL-12 is a heterodimer, consisting of p40 and p35 subunits, which is expressed in psoriasis plaques. It signals through a receptor consisting of IL-12Ra1 and IL-12Rb2. Similar to IL-12, IL-23 is produced by macrophages and dendritic cells, but it differs in promoting the development of T cells that produce IL-17 rather than IFN-alpha. IL-17 is also a Th1 cytokine and plays a role in the pathogenesis of psoriasis.

"Receptor ligation triggers changes in a variety of intracellular signaling molecules, leading to the high production of TNF-alpha and IFN-alpha; these cytokines play important roles in the pathogenesis of psoriasis," Dr. Okamoto said. "Human [IL]-12/23 monoclonal antibody (CNTO 1275) binds with high affinity to the p40 subunit of IL-12 and IL-23. Therefore, this antibody could inhibit not only IL-12 but also IL-23 signaling to produce Th1 cytokines, such as TNF-a and IL-17, and suppress the development of Th1-mediated disorders such as psoriasis."

The Phase 3, Multicenter, Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled Trial Evaluating the Efficacy and Safety of CNTO 1275 in the Treatment of Subjects with Moderate to Severe Plaque-type Psoriasis Followed by Long-Term Extension 2 (PHOENIX 2) trial enrolled 1230 patients with chronic plaque psoriasis.

"This drug has a new mechanism of action, and dermatologists are always interested in new approaches to treating chronic diseases like psoriasis," Dr. Leonardi said. "The studies really confirmed that the pathway that is targeted by the drug is a very important pathway, because we see some huge clinical effects [that are] long-lived and profound."

Inclusion criteria for PHOENIX 2 were at least 18 years of age, at least 6-month duration of plaque psoriasis, PASI score greater than 12, body surface area involvement greater than 10%, and candidates for phototherapy or systemic psoriasis therapy. Exclusion criteria were biological therapy within 3 months of randomization; phototherapy or systemic psoriasis therapy within 4 weeks; topical psoriasis therapy within 2 weeks; active or old inactive tuberculosis; chronic, serious, or opportunistic infection; and malignancy other than nonmelanoma skin cancer.

Patients were randomly assigned to 45 mg of ustekinumab (weeks 0 and 4, then every 12 weeks), 90 mg of ustekinumab (weeks 0 and 4, then every 12 weeks), or placebo. Patients in the placebo group crossed over to active treatment with either 45 mg or 90 mg of ustekinumab at weeks 12 and 16 and every 12 weeks thereafter.

The primary endpoint was at least a 75% reduction in psoriasis at week 12, as measured by the PASI 75. This was achieved by more than two thirds of patients with moderate to severe plaque psoriasis who received 2 subcutaneous doses of ustekinumab.

At week 12, PASI 75 was achieved by 67% of patients treated with 45 mg ustekinumab, by 76% of patients treated with 90 mg ustekinumab, and by 4% of patients receiving placebo (P < .001 for each drug dose vs placebo). PASI 90, or nearly complete resolution of psoriasis, occurred in 42% of patients receiving 45 mg ustekinumab, in 51% of patients receiving 90 mg ustekinumab, and in 1% of patients receiving placebo (P <.001 for each comparison vs placebo).

Patients in the placebo group who crossed over to ustekinumab treatment had similar response rates 12 weeks after starting active treatment.

Among patients who received an additional dose of ustekinumab at week 16, a substantial proportion of patients maintained the PASI 75 response through week 28.

"Improvements were rapid and maintained through week 28," Dr. Leonardi said. "Ustekinumab is a highly effective and significant treatment choice. Its novel mechanism of action brings new hope to patients who have been poorly served by currently available therapies."

Compared with patients in the placebo group, patients in the ustekinumab groups also had significant and clinically meaningful improvements in quality-of-life measures within 4 weeks of starting treatment. On the 10-item Dermatology Life Quality Index (DLQI), with improvement of 5 or more from baseline considered to be clinically meaningful, median improvement at week 4 was 6.0 for 45 mg and 6.0 for 90 mg vs 1.0 for placebo (each P < .001).

"So far, the data that have been presented show great efficacy and good safety," Dr. Feldman said. "Even a single dose can give some patients considerable and persistent improvement."

At week 12, reduction (improvement) of at least 5 points in DLQI score occurred in 72% of patients receiving 45 mg ustekinumab, in 77% of patients receiving 90 mg ustekinumab, and in 21% of patients receiving placebo (P < .001 for each comparison vs placebo). In addition, 37% of patients receiving 45 mg ustekinumab and 39% of patients receiving 90 mg ustekinumab, but only 1% of those receiving placebo, had a DLQI score of 0 at week 12, indicating no effect of psoriasis or the treatment on quality of life (P < .001 for each comparison vs placebo). Patients initially assigned to placebo had similar improvements in DLQI after 12 weeks of crossover treatment with ustekinumab.

"This agent is more effective than currently available treatments," Dr. Okamoto said. "However, the judgment of the safety of this agent [compared with] currently available treatments requires additional studies."

Overall, adverse events (AE) in PHOENIX 2 were similar between groups. Through week 12, at least 1 AE occurred in 49% of the placebo group, in 53% of the ustekinumab 45-mg group, and in 48% of the 90-mg group. Study discontinuation because of an AE occurred in 0.2% of the ustekinumab 45-mg group, 1% of the ustekinumab 90-mg group, and 2% of the placebo group. At least 1 serious AE occurred in 2%, 1%, and 2% of patients in the respective groups.

The most common AE was nasopharyngitis, which occurred with similar frequency in all groups. All other AEs occurred at a frequency of less than 2%, including headache, upper respiratory infection, arthralgia, fatigue, and diarrhea. There was 1 death, from cardiomyopathy, in the high-dose group, which was judged not to be treatment related. No changes in laboratory parameters were noted.

"Ustekinumab was well tolerated with a safety profile comparable to placebo at week 12," Dr. Leonardi said.

When asked about the strengths and limitations of this study, Dr. Feldman noted that these were "great results" from a "well-done study," but that it "did not tell us much about long-term safety issues."

Dr. Okamoto applauded the double-blind, placebo-controlled design but added that the sample size and ethnic diversity of the study cohort were limited.

"The observation period is good enough to evaluate the efficacy of this therapeutic strategy but is not enough to evaluate the safety of this therapy," Dr. Okamoto said. "For the precise evaluation of the safety of this agent, longer careful observation is needed. As this agent inhibits immunological function, the risk of infection and malignancy might be a big concern."

Dr. Feldman also recommends that larger studies of ustekinumab be performed for efficacy, for better defining the dose, and for evaluating long-term safety.

Dr. Leonardi told Medscape that PHOENIX 2 will be ongoing for 5 years to collect additional safety data and that another phase 3 trial is also ongoing. The results of these two trials should be sufficient to seek US Food and Drug Administration approval. An additional 4 to 6 months of interim data from PHOENIX 2 will be presented at the upcoming American Academy of Dermatology meeting. Also ongoing is the T12 study, a head-to-head trial of ustekinumab vs etanercept.

"TNF inhibitors and other available biologics have been a huge help for our patients with psoriasis," Dr. Feldman concluded. "I didn't think I'd ever see another quantum leap in our ability to improve psoriasis like that one. But the results of the IL-12/23 approach are suggestive that we may have another huge leap after all."

Centocor and Janssen-Cilag supported this study and have various financial arrangements with some of its investigators. Dr. Leonardi reports various financial arrangements with Centocor, Amgen, Genentech, and Abbott. Dr. Feldman reports speaking, consulting, and/or research support from Amgen, Abbott, Centocor, Genentech, Astellas, and other companies that make products for psoriasis. Dr. Okamoto reports no relevant financial relationships.

World Congress of Dermatology. Presented October 3, 2007.

version francaise
4 octobre 2007 - Plus des deux tiers des patients avec modéré à sévère psoriasis recevant 2 doses sous-cutanées de ustekinumab (CNTO 1275) réalisé au moins une réduction de 75% dans le psoriasis à la semaine 12 sur le Psoriasis Area Severity Index (PASI 75) , D'après les résultats d'une étude internationale, multicentrique, de phase 3 étude présentée le 3 octobre lors du Congrès mondial de dermatologie, qui s'est tenue à Buenos Aires, en Argentine.

"Ustekinumab est une drogue très haute performance, totalement beaucoup plus efficaces pour le psoriasis actuellement disponible que tout agent immobilier", principal investigateur Craig Leonardi, MD, professeur associé de la dermatologie clinique de St. Louis University Medical School, dans le Missouri, a déclaré à Medscape Dermatology. "Les patients avaient une excellente réponse, il est rarement administrés, et la meilleure partie est que son profil de sécurité est très propre."

"Ils ont été très importantes, impressionnants résultats cliniques, et certains des plus heureux de patients que j'ai eu le plaisir de traiter", principal investigateur Craig Leonardi, MD, professeur associé de la dermatologie clinique de St. Louis University Medical School, dans le Missouri, a déclaré D'une retransmission en direct.

Ustekinumab est un roman, anticorps monoclonal entièrement humain ciblant les cytokines interleukine 12 (IL - 12) et l'interleukine 23 (IL - 23), qui sont naturellement présents immunoregulators pensé à jouer un rôle dans immunitaire maladies inflammatoires.

"Le psoriasis est une maladie immunitaire, ce qui ciblent des aspects du système immunitaire pourrait aider psoriasis", Steven Feldman, MD, Ph.D., professeur de dermatologie, de pathologie, les sciences de la santé publique et à la Wake Forest University School of Medicine à Winston-Salem, Caroline du Nord, dit Medscape Dermatology. Dr Feldman n'a pas participé à cette étude, mais a été invitée à fournir indépendant commentaire. "Bien qu'il n'y ait maintenant des preuves génétiques que les IL - 23 est impliqué dans le psoriasis, la meilleure justification est le fait que anti-IL-12/23 médicaments ne aider le psoriasis."

Un deuxième expert indépendant qui a examiné cette étude était de Medscape Dermatology Hiroshi Okamoto, MD, Ph.D., professeur assistant à l'Institut de Rhumatologie, Tokyo Women's Medical University au Japon. Il a expliqué que le développement du psoriasis dépend de Th1 lignée cellules. IL - 12 est un hétérodimère, composé de p40 et p35 sous-unités, qui est exprimée dans les plaques de psoriasis. C'est par l'intermédiaire d'un récepteur de signaux composé de IL - 12Ra1 et IL - 12Rb2. Similaire à IL - 12, IL - 23 est produit par les macrophages et les cellules dendritiques, mais qui diffère dans la promotion du développement des cellules T qui produisent IL - 17 plutôt que IFN alpha. IL - 17 est également un Th1 cytokine et joue un rôle dans la pathogenèse du psoriasis.

"Receptor ligature déclenche des changements dans une variété de molécules de signalisation intracellulaire, ce qui conduit à la forte production de TNF alpha et IFN alpha; ces cytokines à jouer un rôle important dans la pathogenèse du psoriasis", a déclaré M. Okamoto. "Human [FR] -12/23 anticorps monoclonal (CNTO 1275) se lie avec une affinité élevée à la p40 sous-unité de IL - 12 et IL - 23. Conséquent, cet anticorps pourrait inhiber non seulement IL - 12, mais aussi IL - 23 de signalisation à Produire Th1 de cytokines, comme le TNF a et IL - 17, et supprimer le développement des Th1 médiation troubles tels que le psoriasis. "

La Phase 3, Multicenter, Randomized, Double Blind, Placebo Controlled Trial - Évaluation de l'efficacité et la sécurité de l'CNTO 1275 dans le traitement des sujets avec plaques modéré à sévère de type Psoriasis Suivie d'une longue durée de la prolongation 2 (PHOENIX 2) procès inscrits 1230 patients atteints de psoriasis chronique.

"Cette drogue a un nouveau mécanisme d'action, des dermatologues et sommes toujours intéressés par de nouvelles approches pour le traitement de maladies chroniques telles que le psoriasis", a dit le Dr Leonardi. "Les études ont réellement confirmé que la voie qui est visé par la drogue, c'est un parcours très important, parce que nous voyons certains d'énormes effets cliniques [qui sont] à vie longue et profonde."

Des critères d'inclusion pour PHOENIX 2 étaient au moins 18 ans d'âge, au moins 6 mois de psoriasis, score PASI supérieur à 12, la surface corporelle participation supérieure à 10%, et les candidats à la photothérapie ou systémique du psoriasis thérapie. Critères d'exclusion étaient biologique sous 3 mois de la randomisation; photothérapie ou systémique du psoriasis thérapie de 4 semaines; topique du psoriasis thérapie dans 2 semaines; actif ou inactif vieille tuberculose, les maladies chroniques, graves ou d'infection opportuniste et maligne autre que nonmelanoma cancer de la peau.

Les patients ont été assignés au hasard à 45 mg de ustekinumab (semaines 0 et 4, puis toutes les 12 semaines), 90 mg de ustekinumab (semaines 0 et 4, puis toutes les 12 semaines), ou un placebo. Les patients dans le groupe placebo sont passés au traitement actif avec soit 45 mg ou 90 mg de ustekinumab en semaines 12 et 16 et toutes les 12 semaines.

Le critère principal était au moins une réduction de 75% du psoriasis à la semaine 12, tel que mesuré par le PASI 75. Ce résultat a été obtenu par plus des deux tiers des patients avec modéré à sévère psoriasis qui a reçu 2 doses sous-cutanées de ustekinumab.

À la semaine 12, le PASI 75 est atteint par 67% des patients traités avec 45 mg de ustekinumab, par 76% des patients traités avec 90 mg de ustekinumab, et de 4% des patients recevant un placebo (P <.001 pour chaque dose de médicaments contre le placebo) . PASI 90, soit près d'achever la résolution du psoriasis, s'est produit dans 42% des patients recevant 45 mg de ustekinumab, dans 51% des patients recevant 90 mg de ustekinumab et, dans 1% des patients recevant un placebo (P <.001 pour chaque comparaison contre le placebo) .

Les patients dans le groupe placebo, qui a traversé sur ustekinumab traitement similaire avait les taux de réponse 12 semaines après le début du traitement actif.

Parmi les patients ayant reçu une dose supplémentaire de ustekinumab à la semaine 16, une proportion importante des patients maintenu le score PASI 75 à travers semaine 28.

"Des améliorations ont été rapides et maintenus grâce semaine 28", a dit le Dr Leonardi. "Ustekinumab est un moyen très efficace de traitement et d'importants choix. Roman Son mécanisme d'action apporte un nouvel espoir aux patients qui ont été mal desservis par les thérapies actuellement disponibles."

Comparativement aux patients du groupe placebo, les patients dans le ustekinumab groupes était également significatif cliniquement significative et des améliorations dans la qualité de vie des mesures de 4 semaines après le début du traitement. Sur les 10 point de dermatologie indice de qualité de vie (DLQI), avec l'amélioration de 5 ou plus de référence considérée comme cliniquement significative, la médiane amélioration à la semaine 4 était 6,0 pour 45 mg et 6,0 pour 90 mg de contre 1,0 pour le placebo (chaque P < .001).

"Jusqu'à présent, les données qui ont été présentées font preuve d'une grande efficacité et une bonne sécurité", a dit M. Feldman. "Même une dose unique peut donner certains patients amélioration considérable et persistante".

À la semaine 12, la diminution (amélioration) d'au moins 5 points en DLQI client est survenue chez 72% des patients recevant 45 mg de ustekinumab, dans 77% des patients recevant 90 mg de ustekinumab et, dans 21% des patients recevant un placebo (P <.001 Pour chaque comparaison contre le placebo). En outre, 37% des patients recevant 45 mg de ustekinumab et 39% des patients recevant 90 mg de ustekinumab, mais seulement 1% de ceux qui reçoivent un placebo, a eu un DLQI score de 0 à la semaine 12, indiquant une absence d'effet ou le traitement du psoriasis sur la qualité De la vie (P <.001 pour chaque comparaison contre le placebo). Les patients initialement assignés au placebo avait améliorations similaires dans DLQI après 12 semaines de coupure de traitement avec ustekinumab.

"Cet agent est plus efficace que les traitements actuellement disponibles," a déclaré M. Okamoto. "Toutefois, le jugement de la sécurité de cet agent [par rapport à] ces traitements nécessite des études supplémentaires."

Globalement, les événements indésirables (AE) en PHOENIX 2 étaient similaires entre les groupes. Grâce à semaine 12, au moins 1 AE a eu lieu dans 49% du groupe placebo, dans 53% des ustekinumab de 45 mg de groupe, et dans 48% des 90 mg groupe. Étude de l'arrêt en raison de l'AE a eu lieu dans 0,2% de la ustekinumab de 45 mg de groupe, 1% de la ustekinumab de 90 mg de groupe, et de 2% dans le groupe placebo. Au moins 1 grave AE a eu lieu dans 2%, 1% et 2% des patients dans les groupes respectifs.

La plus courante est rhinopharyngites AE, qui s'est produit avec la même fréquence dans tous les groupes. Tous les autres EI s'est produit à une fréquence inférieure à 2%, y compris les maux de tête, infection des voies respiratoires supérieures, arthralgie, de la fatigue et de diarrhée. Il ya eu 1 mort, de cardiomyopathie, dans le groupe à haute dose, ce qui est jugé ne pas être lié au traitement. Pas de changements dans les paramètres de laboratoire ont été notées.

"Ustekinumab a été bien toléré avec un profil de sécurité comparable au placebo à la semaine 12", a dit le Dr Leonardi.

Interrogés sur les atouts et les limites de cette étude, le Dr Feldman a noté que celles-ci étaient "excellents résultats" du "bien fait étudier", mais qu'il "ne nous a pas dit beaucoup plus long terme sur les questions de sécurité."

M. Okamoto applaudi le double aveugle et contrôlée par placebo, la conception, mais a ajouté que la taille de l'échantillon et de la diversité ethnique de l'étude de cohorte sont limitées.

"La période d'observation est suffisant pour évaluer l'efficacité de cette stratégie thérapeutique, mais n'est pas suffisant pour évaluer la sécurité de cette thérapie," a dit M. Okamoto. "Pour l'évaluation précise de la sécurité de cet agent, plus l'observation soigneuse est nécessaire. Comme cet agent inhibe la fonction immunitaire, le risque d'infection et de malignité pourrait être un grand sujet de préoccupation."

Dr Feldman recommande également que les grandes études de ustekinumab être effectuée sur l'efficacité, pour mieux définir la dose, et pour évaluer à long terme la sécurité.

Dr Leonardi dit que Medscape PHOENIX 2 sera en cours pendant 5 ans pour collecter davantage de données de sécurité et que l'autre phase de 3 procès est également en cours. Les résultats de ces deux études devraient être suffisantes pour chercher US Food and Drug Administration approbation. Un autre 4 à 6 mois d'intervalle à partir de données PHOENIX 2 sera présenté à la prochaine Académie américaine de dermatologie réunion. Est également en cours de la T12 étude, un tête à tête procès de ustekinumab contre étanercept.

"Inhibiteurs de TNF et d'autres produits biologiques ont été une grande aide pour nos patients atteints de psoriasis", a conclu le Dr Feldman. "Je ne pense pas que je jamais voir un autre bond dans notre capacité à améliorer le psoriasis comme celui-là. Mais les résultats de l'IL-12/23 approche suggèrent que nous avons peut-être un autre grand pas après tout."

Centocor et Janssen-Cilag appuyé cette étude et ont différents arrangements financiers avec certains de ses enquêteurs. Dr Leonardi rapports différents arrangements financiers avec Centocor, Amgen, Genentech, et Abbott. Dr Feldman rapports parlant, la consultation, et / ou le soutien de la recherche Amgen, Abbott, Centocor, Genentech, Astellas, et d'autres entreprises qui fabriquent des produits pour le psoriasis. M. Okamoto pas de rapports financiers pertinents relations.

Congrès mondial de dermatologie. Présenté le 3 octobre 2007.

Affaire à suivre...
Avatar du membre
vimocambor
abeille
abeille
Messages : 1623
Enregistré le : lun. févr. 12, 2007 10:22 pm
Localisation : Toulouse
Contact :

Message par vimocambor »

la traduction n'est pas toujours claire mais ce qui m'etonne c'est que d'aprés ce que je vois le congrés était le 3 octobre et je n'en ai pas entendu parlé ailleurs, les medecins sont surement méfiants, comme tu dis " affaire à suivre ".
hatem
phasme
phasme
Messages : 26
Enregistré le : dim. juil. 29, 2007 3:10 am

Message par hatem »

Bonne Année 2008 à tous,
y'a t-il quelqu'un qui peu nous aider à avoir ce médicament des USA, quelqu'un qui a un parent, un ami, ou n'importe qui dans ce pays pour s'intéroger et nous envoi ce médicament pour l'essayer...
s'il vous plait il faut faire quelque chose...
ce taritement s'appel Ustekinumab
je sais pas, j'ais un prés sentiment que c'est notre espoire...
pippin t'es où stp aidez nous je t'empris, je suis sure que tu peux faire quelque chose...
Avatar du membre
vimocambor
abeille
abeille
Messages : 1623
Enregistré le : lun. févr. 12, 2007 10:22 pm
Localisation : Toulouse
Contact :

Message par vimocambor »

il faut peut être attendre qu'ils le testent sérieusement. Pour Pippin je ne le vois plus nul part avant il allait aussi sur doctissimo mais plus rien ? !
Bonne année à toi Hatem et j'espère que ce médicament n'est pas encore un faux espoir.
titi77
fourmi
fourmi
Messages : 443
Enregistré le : ven. janv. 04, 2008 9:23 pm

Message par titi77 »

bonjour je suis nouveaux j aimerais d abord vous souhaiter mes meilleurs voeux pour cette annéé et une bonne annéé malgré notre galere! lool! salut hatem moi aussi jai lu l article sur ce nouveau traitement ! pourvu que ca marche et qu ils fassent vite pour le commercialiser en france parce que moi aussi franchement ya des jours jsuis vraiment au bout du rouleau avec cette maladie de m....! jvai essayer pso natura prochainement et psopax le nom francais du dermylex ont verra bien ! au plaisir de vous relire !
psoria
phasme
phasme
Messages : 33
Enregistré le : lun. janv. 07, 2008 8:17 pm

Nouv médic

Message par psoria »

Bonjour !
Ce nouv médic semble intéressant.
Trois questions viennent à l'esprit :
Quelle est la durée du traitement ?
Combien ça coûte ?
Combien de temps restera t-on guéri ?
Je suis aller à une cure thermale. J'étais guéri pendant quelques semaines puis ça recommence, pire qu'avant !
Psoria
Répondre